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Le CITET
a lancé, en janvier 2004, son premier hebdomadaire électronique la
«Diffusion sélective de l’information environnementale» ou DSI. Puis, en
mars dernier, il y a eu la deuxième publication électronique
circonstancielle intitulée l’«Alerte environnementale» avec ses variantes
réglementaire, technologique, économique, commerciale et santé. En ce mois
d’octobre 2005, suite aux impacts positifs de ces deux publications, et en
vue de renforcer ces services et produits de veille, le CITET a lancé sa
troisième publication électronique bimensuelle «Le veilleur écologiste».
«Son objectif est de faire une veille écologique plus ciblée vers une
présentation des innovations les plus récentes et les tendances en matière
de technologies propres et de mise à niveau environnementale, les nouvelles
normes et réglementations environnementales et les perspectives de mutations
du développement humain qui préconisent de plus en plus le renforcement des
exigences des consommateurs pour des services et des produits plus
respectueux de l’environnement», lit-on dans la note de présentation du
CITET.
L’intérêt de cette veille n’est ni plus ni moins que de prévenir les
producteurs de l’évolution préconisée de la législation environnementale,
des technologies et ainsi celle du marché vers de nouveaux modes de
consommation plus durables et de commerce éco-responsables, donc plus
respectueux de l’environnement, plus équitables, explique le CITET.
Mais ce n’est pas tout, l’organisme public souligne que «cette veille
s’insère aussi dans un cadre plus général du système de veille écologique
que le Programme de Nations unies pour l’Environnement (PNUE) lancé pour
maintenir à l’étude, l’état de l’environnement mondial». Pour le PNUE le
pourquoi de cette veille écologique est «les décideurs à tous les niveaux
doivent disposer d’informations pertinentes et fiables sur l’état de
l’environnement et de ses tendances afin de prendre les mesures qui
s’imposent… Il s’agit d’un système… qui servira de passerelle entre la
science et les multiples forums de prise de décision et les parties
concernées à diverses échelles. Il contribuera à une structure plus intégrée
des discussions scientifiques étayant la gouvernance environnementale».
Pour d’information, se reporter sur le site :
http://science.unep.org/environmentwatch.asp.
T.B.
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