Une simple
lecture dans le programme des Journées de l’entreprise, qui démarrent ce
vendredi à Sousse, nous mène à la conclusion qu’il ne faut surtout pas rater
le Forum sectoriel sur les nouvelles technologies. Non pas que les deux
autres Forums (textile et tourisme) soient dénués d’intérêt, car c’est loin
d’être le cas, mais parce que ce sont les TIC qui nous semblent les plus
particulièrement prometteuses pour l’avenir de nos entreprises et de notre
pays.
Quatre catégories de personnalités y interviendront pour faire le point et
anticiper les tendances de ce secteur. Il y a d’abord évidemment les
officiels tunisiens qui tiennent à marquer leur présence dans ce genre de
manifestation, aussi bien pour rappeler les efforts et les projets de la
Tunisie que pour écouter les attentes des chefs d’entreprise et les opinions
et les expériences des visiteurs étrangers.
Il y a également les patrons tunisiens qui constituent l’essentiel de
l’auditoire et qui participent aux Journées par conviction que les débats
leur apporteront certainement quelque chose. C’est d’ailleurs d’autant plus
vrai à propos des technologies de l’information et de la communication dont
les progrès se font pratiquement chaque jour que Dieu fait. La somme
d’informations qui circule dans ce domaine bat tous les records et il est
une bonne chose de rencontrer des spécialistes qui vous guident vers
l’essentiel, histoire d’identifier les meilleurs chemins de
l’investissement.
La troisième catégorie est constituée, ici plus qu’ailleurs, par les
experts, consultants, membres de bureaux d’études… dont le métier est de
structurer le flot d’informations de toutes sortes et d’en ressortir des
lignes de conduite. La quatrième catégorie étant les participants
d’envergure internationale ; qu’ils soient des officiels de pays partenaires
ou des représentants de multinationales et d’institutions mondiales. Cette
dernière catégorie apporte un éclairage particulier au secteur des TIC ;
cette dimension ‘’macro’’ ou stratégique sans laquelle l’image restera
incomplète.
Erratum
Dans l’un de nos
récents articles d’opinion sur les négociations au sein de l’Organisation
mondiale du commerce, une regrettable coquille s’est glissée dans la
dénomination du CCI qui est, de fait, le Centre de commerce international
dont tout le monde pense qu’il est l’un des outils les plus féconds de l’OMC
et dont la mission est d’accompagner les secteurs privés ; essentiellement
dans les pays en développement. Dont acte !
Une simple
