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Réaction à l’article
Centres d’appels :
La «guerre» du
recrutement
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Certes
qu’il s’agit là d’un créneau porteur, mais il faut savoir que certains pays,
comme l’Inde par exemple, y travaillent sérieusement avec une approche
semblable à celle adoptée par les Chinois dans le secteur du textile.
Ce qui veut dire que les Indiens ne font pas «le travail à façon» ou «la
sous-traitance» uniquement, mais ils vendent leur marque surtout grâce à
l’initiative et les investissements réalisés particulièrement par des jeunes
compatriotes qui ont reçu une formation et / ou vécu et travaillent dans des
pays de l’Amérique du Nord ou l’Angleterre et qui reviennent en Inde pour
lancer des projets de centres d’appels.
Le seul handicap pour les Indiens, surtout sur les marchés européens
(d’ailleurs semblable à l’handicap de proximité pour le textile chinois),
c’est le problème d’accent dans la prononciation qui demeure difficilement
maîtrisable chez les opérateurs.
N.F
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