Nous
allons peut-être fâcher quelques consultants jaloux de leur prestige mais
une annonce de la compagnie IBM vient de nous éveiller sur le fait que les
professionnels aguerris dans tous les domaines sont les premiers qui peuvent
prétendre au titre suprême de ‘’Consultant’’, pour des raisons objectives.
Tout le monde connaît International Business Machines, dit IBM ou Big Blue.
L’un des premiers à avoir anticipé la nouvelle vague des Personal Computers
(ou PC) pour s’éclipser un peu du peloton de tête puis pour revenir en
force. Ses ordinateurs, surtout les Laptops, sont aujourd’hui le nec plus
ultra en la matière.
Ce que l’on ne connaît pas beaucoup d’IBM, c’est sa relativement nouvelle
vocation de consultant. Une page d’annonce passée dans l’un des derniers
numéros du prestigieux The Economist met en avant cette facette qu’ils
nomment IBM Business Consulting. Leurs communicateurs ont choisi de
l’accompagner de trois interrogations significatives pour appâter la
clientèle potentielle : Comment être soi-même un agent de change et pas sa
victime ? Comment tirer parti de l’incertitude des marchés ? Comment faire
que l’innovation crée une vraie différence ?
IBM est capable de répondre à ces questions en long et en large et de toutes
les manières possibles simplement parce que son expérience du milieu des
affaires et des marchés ainsi que de la recherche et le développement a peu
d’équivalent dans le monde et il nous semble tout à fait évident qu’il est
capable de faire la différence en qualité de consultant.
Il nous semble d’ailleurs que les consultants de tous bords doivent
impérativement ‘’venir’’ d’un monde concret, porteur d’une réelle expérience
et pas de cursus quasi théoriques. Une place à prendre pour les entreprises,
y compris les entreprises tunisiennes qui ont le back-ground qu’il faut
derrière elles.