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Réaction à l’article
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Les
droits d’auteurs et piratage ne sont pas perçus comme du vol, car la
question ne concerne pas de biens physiques (marchandises). Et là est tout
le problème.
Le consommateur a du mal à lier ces deux concepts. Comment peut-on être
accusé de vol, alors que nous n’avons rien pris physiquement illégalement ?
La sensibilisation doit commencer par là.
Je comprends qu’on puisse tolérer que des étudiants ou des employés aux
moyens modestes puissent faire appel au piratage pour perfectionner leur
savoir-faire, mais en aucun cas on pourrait tolérer pareil acte pour une
entreprise qui utilise ces logiciels qui sont pour elle une source de
bénéfices.
Pour ce qui est des arguments cités dans cet article, essayons de faire un
parallèle avec des biens volés (habillement, électroménager ou autres) et
voyons s’ils tiennent toujours la route.
Le piratage c’est du vol. Qu’on se le dise.
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