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Bravo
pour cet article objectif. Le commerce parallèle en Tunisie est signe de la
débrouillardise des Tunisiens et de leur savoir-faire en matière de négoce
ancrés dans la conscience collective depuis les Carthaginois qui ont basé
l’empire sur les comptoirs et jusqu’à il n’y a pas longtemps la famille
tunisienne avait toujours quelque chose à vendre, un tapi, un kilim ou
quelques litres d’eau de rose.
Ceci
reflète la diversité de notre économie où le Tunisien est apte à créer du
profit que ce soit de la friperie ou des hautes technologies. Une solution
pour canaliser ce commerce progressivement du parallèle vers le légal par
l’insertion de ses commerçants doués et talentueux dans une logique
commerciale disciplinée tel que des coopératives régionales, en langage
simple rassembler leurs petits fonds propres en prenant des risques
collectifs ; ainsi ils pérennisent leurs activités et payent leurs taxes,
c’est toujours mieux que la précarité.
F.K
Réaction à l’article :
De quel commerce parallèle parle-t-on ?
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