Les
opportunités et cadre légal dans le domaine de l’investissement ont été
exposés la semaine dernière à Vienne en Autriche, lors d’une journée
d’information sur l’environnement de l’investissement en Tunisie, et ce
devant un important nombre de représentants d’entreprises et autres bureaux
de consultation autrichiens qui s’intéressent au site Tunisie.
Il faut rappeler, de ce point de vue, que cette manifestation s’inscrit dans
le cadre des efforts déployés en vue de promouvoir la Tunisie comme site
d’investissement.
En tout cas, M. Khelil Lajimi, secrétaire d’Etat auprès du ministre du
Développement et de la Coopération internationale, a convenablement
‘’vendu’’ la Tunisie, en exposant l’évolution de l’investissement extérieur
en Tunisie à la faveur d’une croissance économique soutenue. Il a fait
allusion aux avantages comparatifs de la Tunisie ‘’qui lui confèrent une
position très attractive parmi les pays émergents’’…
M. Lajimi n’a pas manqué d’évoquer ‘’la contribution très bénéfique des
investissements extérieurs en termes de croissance économique, de transfert
de technologie et de création d’emplois…, et donc le rôle qu’ils jouent dans
la consolidation des rapports de partenariat stratégique entre la Tunisie et
l’Union Européenne’’.
De son côté, et à cette occasion, le vice-président de la Chambre économique
fédérale d’Autriche a souligné que ’’la Tunisie, de part la stabilité
politique et sociale et sa marche sereine sur la voie de la modernité et de
l’ouverture économique, offre des opportunités hautement importantes aux
investisseurs européens et autrichiens et se positionne parmi les sites les
plus favorables au Sud de la Méditerranée’’. Mais il a également précisé
qu’actuellement, ‘’la majeure partie des investissements autrichiens est
concentrée dans les pays des Balkans et de l’Europe centrale et orientale
(Slovaquie, Hongrie, Slovénie et Tchéquie), et a mis en exergue le grand
intérêt économique qu’ont les investisseurs autrichiens à se positionner sur
le site Tunisie susceptible de leur ouvrir la voie aux marchés arabes et
africains’’.
Aux hommes d’affaires tunisiens de faire, maintenant, le pas supplémentaire,
avertis qu’ils sont de l’existence d’investisseurs autrichiens qui
s’intéressent au marché tunisien, pas seulement pour vendre, mais pour
investir.
Les
