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J’ai lu
avec beaucoup d’intérêt cet article de OUSSEÏMA BELGHITH, qui soutient que
la RSE est un vecteur de performance à condition que l’entreprise fasse
converger l’ensemble de ses actions vers une seule performance. Mes
préoccupations sont les suivantes :
– Est-ce que l’auteur pense que dans la
pratique concrète et au-delà de l’idéal, les dirigeants d’entreprise peuvent
vraiment intégrer la RSE pleinement c’est-à-dire intégrant les aspirations
des parties prenantes, et être économiquement performante, lorsqu’on sait
que la logique de la création des richesse reste et demeure au centre des
actions de toute entreprise ?
– Nous savons tous que la performance est une
notion polysémique et très englobante. Quand l’auteur voudrait que
l’entreprise qui veut être socialement responsable converge vers une
performance unique, je voudrais savoir de quelle performance s’agit-il ?
Est-il possible de caractériser ou de donner les éléments de cette
performance unique ? Que viserait l’entreprise dans ce cas ?
– Est-il
possible dans un contexte africain où beaucoup d’entreprises nationales sont
des PME, de penser à une intégration de la RSE pour cette catégorie
d’entreprises en quête de repères dans le vaste champs de la mondialisation
?
– A quoi correspond exactement l’ajustement dont parle l’auteur, qui
permettra au manager de l’entreprise de concilier impératifs économiques et
aspirations des parties prenantes, et donc de la RSE?
Merci pour la
publication de la brillante contribution de l’auteur à ce vaste champ de
recherche et non encore bien exploré qu’est la Responsabilité Sociale de
l’entreprise. Bonne continuation.
NGO NDJOM Louise Professeur Douala
Réaction à l’article :
La responsabilité sociale de l’entreprise
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