Cela
fait plusieurs semaines que le Salon international des services Ã
l’exportation (SISE 2006) a tiré sa révérence et presque tout a été dit sur
le sujet… à l’exception d’un seul chapitre : la gestion de la campagne
presse ! Et si nous nous attardons là -dessus, c’est qu’à notre humble avis
celle-ci a été menée avec beaucoup de professionnalisme. De plus, nous
souhaitons attirer l’attention des chefs d’entreprise sur le fait que ce
genre de campagne peut apporter beaucoup à leur image.
Il faut dire que, quand on connaît la journaliste à laquelle a été confiée
cette mission, on ne peut que s’attendre qu’à du travail fait dans les règles de
l’art. Car Insaf Boughdiri, d’apparence fine et fragile comme un Top Model, est
pourtant une professionnelle infatigable, consciencieuse et ‘’têtue’’. Des
qualités incontournables si une campagne de presse veut brasser large.
En parfaite symbiose avec les deux acteurs de premier plan dans
ce domaine (Mohamed Babbou, le Commissaire du Salon, et Foued Ajroudi, le chargé
de presse du ministère du Commerce et de l’Artisanat), elle a poursuivi sa
démarche un mois avant le SISE, pendant et même après sa tenue.
Le truc, c’est le contact direct, le matraquage par téléphone et e-mail, la
distribution incessante de papiers et de documents (sous forme papier et
électronique)… C’est aussi faire jouer ses relations personnelles avec les
journalistes (presse écrite, publications sur Internet, Radio, TV). C’est
également se faire disponible à tout moment pour répondre aux questions. C’est
encore avoir l’intelligence d’appeler invariablement après chaque publication …
Aujourd’hui, à froid si l’on ose dire, et pour toutes ces raisons, il est
indéniable que la campagne de presse du SISE 2006 a été une réussite
caractérisée par une très large présence médias. Un domaine que beaucoup de nos
entreprises ne pèsent pas à sa juste valeur et elles ont certainement tort. En
vérité, il s’agit d’un outil capital pour la renommée d’un produit, d’une
performance ou d’une attitude. Et il n’y a qu’à voir quel cas en font les
entreprises dans le monde occidental pour se rendre à l’évidence.
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