C’est dans
une ambiance conviviale à l’hôtel Abou Nawas que le management de Tunisiana
-MM. Fethi Houidi (président CA), Scott GEGENHEIMER (CO-CEO), Robert Lee
(CO-CEO et Directeur commercial), etc.- a réuni un certain nombre de
journalistes de la place pour une conférence de presse dans l’objectif est de
dévoiler sa nouvelle identité visuelle.
A cette
occasion, Mme Chaar a présenté le parcours de Tunisiana depuis décembre 2002
jusqu’à aujourd’hui, en termes de chiffres, d’offres promotionnelles,
d’image, etc.
Une
nouvelle identité visuelle avec un slogan assez significatif qui en dit long
sur la volonté de l’entreprise de se rapprocher davantage de ses clients :
‘’INTI AWLA’’, une démarche qui va au-delà d’une simple séduction envers
les clients.
En effet,
cette démarche de l’opérateur privé de téléphonie mobile se fonde sur un
discours de marque, et répond à 3 objectifs essentiels, à savoir la
modernisation (le style graphique devient encore plus contemporain), la
simplification (plus la marque est sûre d’elle-même, moins elle a besoin
d’être «tape à l’oeil») et la personnalité de la marque
devient plus mûre et plus affinée…
Ainsi, ‘’ce qui était
implicite dans la vie de l’entreprise «Tunisiana» devient explicite, au
niveau de la marque «Tunisiana», engage l’entreprise entière et engage
chaque intervenant dans l’entreprise envers ses clients actuels et futurs’’,
souligne un document présenté lors de cette conférence de presse. Avec cette
promesse ‘’ ‘’INTI AWLA’’ qui sera visible à partir de demain 17 novembre
2006.
Quant aux débats, quelque
peu houleux, ils ont tourné essentiellement autour du taux de pénétration de
l’opérateur privé. Selon les chiffres fournis par l’opérateur, nous avons
appris que Tunisiana a vendu,
depuis le démarrage de ses activités jusqu’à aujourd’hui, plus de 4
millions d’abonnements. Par contre, à fin septembre 2006, le nombre de
lignes actives de l’opérateur est de 2.821.616, soit une part de marché de
45,6%.
Une progression
hallucinante quand on sait que Tunisiana n’a pas encore 4 ans d’existence.
C’est dans
