C’est Alger
que Bureau Veritas a choisi comme pôle de renforcement et d’expansion de ses
activités en Afrique du Nord et dans l’Afrique sub-saharienne, en proposant
ses services dans les domaines de l’évaluation de la conformité appliquée
aux domaines de la qualité, de la santé, de la sécurité, de l’environnement
et de la responsabilité sociale.
Selon des
informations publiées par les journaux algériens, il pourrait débuter ses
activités au début 2007. Pour ce faire, Bureau Veritas serait à la recherche
des experts locaux, de bureaux et de partenariat pour mettre en œuvre ses
projets.
On apprend
que trois principaux projets pilotes ont déjà été identifiés sur trois sites
industriels différents. Ils viseraient des partenariats dans les domaines
liés au GNL, sur des sites de raffinage et ceux de la chimie et de la
pétrochimie.
Objectif :
évaluer la démarche à mettre en œuvre pour la sécurité des hommes et des
installations, l’hygiène des travailleurs et de la population, le contrôle
des émissions fugitives réputées pour leur toxicité, la réduction des fuites
et la protection de l’environnement. Des domaines on peut plus en boum
aujourd’hui en Algérie.
L’Algérie est
considérée par le management de Veritas comme site stratégique : d’abord sa
position géographique (Maghreb central, interface entre l’Europe, le
Moyen-Orient et l’Afrique sub-saharienne), puis son marché, son dynamisme
économique…
Rappelons que
Veritas était, il y a quelques années, actionnaire dans la société Verital,
créée en 1989. Mais outre temps, outre tombe, Veritas décide, aujourd’hui,
de s’installer seul dans le pays qui constituera désormais un hub dont
l’objectif est d’apporter du soutien aux autres entités du Maghreb et
d’Afrique sub-saharienne.
C’est Alger
