La taxe sur les recharges et l’environnement

 

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J’ai
pensé naïvement depuis qu’on a instauré la taxe de 300 millimes que c’était
quelque chose qui se rapportait à l’environnement, car charger directement
évite la production d’une carte en plastique imprimé qui coûte de l’énergie
et contribue à la pollution. Hélas, ce n’était pas ça du tout, et c’est bien
dommage car nous allons continuer à polluer notre maison et accroître les
déchets solides; ainsi que les émissions des gaz à effet de serre (CO2) pour
contribuer davantage aux changements climatiques (énergie =dégagement de
CO2).

Si l’on s’amusait à faire un calcul, on trouverait que l’économie d’énergie
est considérable sans compter l’économie de coût de fabrication de la carte
elle-même. C’est vraiment dommage et il ne faudrait pas s’étonner de voir
des pluies diluviennes plus fréquentes, comme celles d’aujourd’hui (samedi
16 décembre) qui ont affecté l’aorte du pays (la GP1 et l’A1), ou des
sécheresses plus persistantes dans notre pays.

Bien entendu, les changements climatiques constituent un phénomène
planétaire, mais économiser une carte en plastique constitue un geste
élémentaire qui a beaucoup de signification et qu’il faudrait peut-être
encourager tout comme l’économie des sachets pastiques d’emballage pour
utiliser un couffin, etc.

Bref, c’est une réflexion rapide pour dire qu’on pourrait faire bien des
choses utiles pour notre environnement actuel et pour celui des générations
futures avec une perception ou une affectation un peu différente de ladite
taxe, aussi minime soit-elle !

Habib Kraiem


Réaction à l’article :
Taxes sur les cartes de recharges


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