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Selon la décision n°1546 en date du 17/02/2005 du Conseil Economique et
Social Arabe, il n’est pas permis que des “conventions bilatérales” entre
des pays membres de la Grande Zone Arabe de Libre-Echange contiennent des
listes négatives, des calendriers agricoles ou un démantèlement tarifaire
progressif et ce à partir du début de l’année 2005, date d’entrée en vigueur
de la GZALE. Mais pourquoi ne pas avoir mentionné le
terme “ou multilatérales”? Cela veut-il dire que les pays maghrébins ont voulu profiter de
cette “erreur” pour maintenir les obstacles au commerce entre eux. Les
opérateurs peuvent échapper à ces listes négatives en travaillant dans le
cadre de la GZALE. Cela reste suffisant, car l’Algérie et la Mauritanie ne
sont pas membres de la GZALE.
Boubaker GHOUAIDIA Expert en Management
IDEACONSULT-GROUPE STUDI
Réaction à l’article :
La zone de libre-échange maghrébine verrait le jour à Tunis
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