Je regrette de devoir le faire, mais c’est comme lorsque vous écoutez
chanter faux, vous finissez par ne plus pouvoir résister : pourquoi faut-il
devoir sauter à pieds joints sur les fautes de langue, de grammaire, ou
d’orthographe, alors que les propos sont intéressants et bien rapportés ?
Jugeons-en : (…17 entreprises sont déjà prêtes à faire partie du futur
marché alternatif ; dont 3 d’entre elles devraient être introduite au cours
de la période juillet-septembre 2007. Elle a, également, indiqué que les
frais occasionnés par l’opération d’introduction au marché alternatif seront
prise en charge à hauteur de 70% par la FODEC. Au cours du débat, un des
participants s’est interrogé sur le risque, compte des spécificités de
l’économie Tunisienne, de voir le marché alternatif se contenter
d’accueillir des entreprises des secteurs industrielles et commerciales, …
Un autre intervenant, intermédiaire en bourse, a formulé des appréhensions
quand au risque d’avoir opter exclusivement pour la formule de l’Appel
public à l’épargne … En clair on estime que compte tenu du niveau de
risque, normalement plus élevé du marché alternatif, il aurait été prudent
d’envisager, préalablement, parallèlement ou simultanément, la mise en place
d’un compartiment d’entreprises où seuls les investisseurs avisés seront
autorisés à effectuer des transaction’’.
Je ne comprends pas bien : est-ce écrit dans l’urgence, sans prendre le
temps de vérifier ? Dommage.
Néjiba Lazreg
Ndlr : C’est vrai, il peut arriver que des papiers de couverture de
manifestations soient écrits dans l’urgence ; mais normalement l’équipe de
correction fait le nécessaire pour éviter ce type de résultat. Il peut
arriver, également, qu’un papier passe à travers le processus de
contrôle-correction, comme c’est le cas pour cet article.
L’article en question a d’ailleurs été corrigé après publication.
Réaction à l’article :
Marché alternatif Tunisien : 17 entreprises dans le pipe line
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