[18/09/2007 10:31:04] TOKYO (AFP) Le deuxième opérateur de télécommunications mobiles japonais, KDDI, a annoncé mardi qu’il se portait candidat avec cinq partenaires à l’attribution d’une nouvelle licence pour exploiter au Japon des services mobiles basés sur la technologie WiMAX. Le rival de KDDI, le numéro un du secteur mobile au Japon, NTT DoCoMo, avait fait une annonce similaire fin août. Pour postuler, KDDI s’est associé à l’un de ses principaux fournisseurs de terminaux, Kyocera, au fabricant de microprocesseurs américain Intel, au groupe bancaire japonais Mitsubishi UFJ Financial Group (MUFG), à la société de services financiers Daïwa Securities et à la plus importante compagnie ferroviaire nippone, JR East. A l’instar de NTT DoCoMo, le numéro deux KDDI ne pouvait présenter seul un dossier pour l’obtention d’une nouvelle bande de fréquences, en raison des règles fixées par le ministère des Télécommunications japonais. Le régulateur avait en effet précisé qu’il ne donnerait pas directement de nouvelle autorisation aux opérateurs déjà actifs postulant en leur propre nom, afin de favoriser les partenariats et l’arrivée de nouveaux acteurs. |
||
|
