Gulf Finance House annonce la création de « First Energy Bank », la première banque régionale dédiée au secteur de l’Energie
Finance : Gulf Finance House annonce la création de « First Energy Bank »,
la première banque régionale dédiée au secteur de l’Energie
La
première banque régionale islamique dédiée aux investissements et besoins de
services du secteur de l’énergie est actuellement en cours de constitution
avec un capital libéré projeté de 750 millions de dollars américains First
Energy Bank est le dernier concept stratégique d’affaires développé par Gulf
Finance House conjointement avec des partenaires associés et conçu pour
capitaliser sur la forte demande d’investissements dans l’industrie
énergétique mondiale. PFC Energy International, compagnie de consulting en
énergie leader, sera un conseiller stratégique fournissant des analyses
approfondies pour la stratégie de développement, l’évaluation des
investissements et les décisions commerciales au niveau mondial et régional.
Gulf
Finance House avait annoncé, à la mi-décembre 2007, la création en Tunisie
d’un «Port financier »,
sur une superficie totale
de 450 ha, dans la zone de Raoued-Nord, dans la banlieue de Tunis, avec un
investissement de 3 milliards de dollars.
First
Energy Bank cible les opportunités d’investissement sur le marché de
l’énergie où elle peut capitaliser son expertise et ses relations à travers
différents secteurs. La demande du secteur de l’énergie en capital est
grande et, selon le rapport mondial Energie 2005 de l’Agence Internationale
de l’Energie, l’infrastructure de l’énergie pour la région Moyen Orient
Afrique du Nord exige a elle seule approximativement 56 milliards de dollars
américains par an d’ici 2030. Ainsi, les besoins du secteur de l’énergie
dans la région s’élèveront à 280 milliards de dollars américains durant les
cinq prochaines années.
De par
son concept visionnaire et son réseau de Cités Energétiques, Gulf Finance
House est reconnue comme un pionnier global du 21ème siècle dans
les projets de l’énergie. Après l’annonce de leur 4ème projet de
Cité Energétique en Libye et le lancement réussi des Cités Energétiques au
Qatar et en Inde, la création d’une banque concentrée sur la prestation de
services financiers sur-mesure pour le marché énergétique constitue la
nouvelle étape logique dans son engagement continu en faveur du secteur.
Commentant la constitution de First Energy Bank, M. Esam Jenahi, Président
de Gulf Finance House a déclaré aujourd’hui que « la demande
d’investissements dans l’ensemble du secteur de l’énergie au cours des
prochains 25 ans est incontestablement importante. First Energy Bank est la
réponse à cet impératif et nous sommes heureux d’être associés au concept
banque islamique qui sera le premier à offrir en exclusivité
l’investissement approprié et les solutions nécessaires pour l’industrie
énergétique. La constitution de First Energy Bank démontre notre engagement
en faveur du secteur énergétique, fondé sur notre concept de Cités
Energétiques, dédiées aux secteurs des affaires.»
De son
côté, Mr Vahran Zanoyan, Président Directeur général de PFC Energy
International a indiqué aujourd’hui que : « en tant que spécialiste
international des affaires énergétique, nous savons combien les besoins en
investissements sont uniques. C’est pourquoi, nous avons saisis cette
opportunité pour capitaliser sur notre profonde expertise, en partenariat
avec Gulf Finance House et œuvrer pour que First Energy Bank devienne le
partenaire indispensable du secteur énergétique moderne.»
Selon
les estimations de l’Agence Internationale de l’Energie (AIE), la demande
mondiale en pétrole augmentera de 1,3 % par an d’ici 2030. Cette demande est
appelée à croître de 83.6 millions de barils/jour en 2005 à 91.3 millions de
barils/jour en 2010 et 116.3 millions de barils/jour en 2030. En gaz
naturel, l’augmentation de la demande est estimée à 2.0% par an durant cette
période, soit plus rapidement que celle du pétrole. Pour satisfaire cette
demande, 4.3 milliards de millions de nouveaux investissements sont
mondialement nécessaires dans le secteur pétrolier d’ici 2030, et
approximativement 3.9 milliards de millions sont projetés à être investis
dans le secteur du gaz. Près de la moitié de ces investissements seront
effectués dans des les marchés de pays émergeants, particulièrement la Chine
et l’Inde. Plus que les trois-quarts des investissements pétroliers seront
dans des projets upstream (exploration et production). En plus, des
investissements upstream sont projetés pour constituer 60% des
investissements dans le secteur du gaz naturel.
Un
nombre substantiel de ces développements seront mis en place par des
promoteurs privés qui ont un concept solide de projet, mais manque de
capital et d’expertise intensive de développement, deux éléments cruciaux
que First Energy Bank peut fournir en leur apportant une valeur
significative. Les compagnies régionales qui concentrent leurs affaires
essentiellement sur le secteur de l’énergie, comme les compagnies de
services pétroliers locaux qui ont besoin de financement pour capitaliser
sur la croissance du secteur seront ciblées en tant que des acquisitions
potentielles. Ce flux accroîtra rapidement le nombre d’entreprises acquises
alors que l’affiliation entre projets et contractants accélèrera le
développement de projets. Ces synergies créeront des avantages compétitifs
pour les investissements de First Energy Bank et boosteront les dividendes.
Encore plus, les économies des pays du Conseil du Golfe ont connu une
période soutenue de croissance économique et de liquidité essentiellement
due à la hausse du prix du pétrole. La région a d’excellentes relations
commerciales internationales qui offrent des opportunités financières et
commerciales.
Une
fois établie, First Energy Bank génèrera des dividendes consistants pour ses
actionnaires en se concentrant sur le pétrole et les upstream/Downstream, le
transport, la pétrochimie, l’énergie et l’IWPP.
Les
investissements de First Energy Bank sont prévus pour inclure :
Le
développement de projets en Energie :
cela consiste en des investissements et prises de participations dans de
nouveaux projets qui sont au premier stade de développement où la banque
peut agir en tant que partenaire principal ou co-partenaire. Les prises de
participations dans ces projets peuvent être syndiquées à travers des
placements privés ou des offres publiques pendant 2 ans pour le démarrage
réussi des opportunités de développement. Ces projets devront booster les
dividendes de la banque à des taux substantiels.
Co-investissement dans des projets de développement :
la Banque co-investira dès les premiers stades de développement de projets à
côté d’investisseurs stratégiques qui guideront et administreront les
activités de développement. En même temps, la banque participera à la
gestion, structuration et commercialisation du projet.
Acquisition de portefeuille d’actifs :
acquisition de lignes d’affaires ou de portefeuilles d’actifs qui ne sont
pas spécifiques à des compagnies ou que des banques souhaitent céder en
raison de contraintes financières. Les portefeuilles acquis sont censés
générer des revenus stables avec la perspective offerte par la
restructuration, la recapitalisation et/ou à travers une offre publique
régionale ou internationale d’échange, faisant suite à la restructuration.
Acquisition corporate :
Acquisition de banques publiques ou privées qui sont dépréciées ou
sous-évaluées sur leurs marchés et dont la valeur peut être augmentée à
travers une restructuration plus efficiente, une gestion plus active et/ou
un repositionnement stratégique
Mezzanine Capital/Actions préférentielle :
les opportunités de mezzanine capital que procure un risque de rentabilité
stable seront explorées pour de larges transactions qui ont le potentiel de
couvrir le gap entre des dettes internationales seniors, des tranches de
dettes islamiques et des dettes arrivées à termes, quand le capital
mezzanine peut être structuré et déployé sur des bases soulignant la valeur
de l’action.
La
Banque elle-même, établira un fond d’investissement qui fournira une partie
des financements de projets avec des partenaires stratégiques apportant une
expertise technique.