Pourquoi nos sociétés de services et d’ingénierie informatique, nos startups
et autres opérateurs des TIC et des services qui en relèvent devraient
participer à la 5ème édition du Salon “Med-IT@Alger 2008” sur les
Technologies de l’Information, qui aura lieu les 22 et 23 avril ? Simplement
parce que toutes nos logiques nous y mènent !
Les entreprises tunisiennes de ce secteur s’y trouveront comme des poissons
dans l’eau, aussi bien dans la dimension opérationnelle que dans le sens
stratégique.
Des dizaines et des dizaines de sociétés du secteur des technologies de
l’information s’y rencontreront autour de débats, d’expositions de produits
et services et de rendez-vous d’affaires. On y parlera des nouvelles
applications innovantes de la téléphonie Mobile (la 3G, l’internet,
l’échange de données, le M-Commerce, la télévision sur mobile…). Et c’est
cela l’un des grands pôles d’avenir des TIC : la convergence vers le GSM. Il
y aura également un Forum des DSI sur l’évolution des systèmes d’information
et on apprendra comment ont évolué les systèmes d’information et les besoins
informatiques au sein des grandes entreprises algériennes (très instructif
pour ceux qui veulent trouver un marché en Algérie).
Nous y verrons aussi des solutions pour les Call-Centers (les Vorax
technologies pour le développement des solutions de convergence entre la
téléphonie et l’informatique en tout IP et en se basant sur les logiciels
libres). On y débattra des perspectives de développement des centres
d’appels en Algérie (également fort instructif pour les chercheurs de
partenariat). On y passera en revue d’autres domaines tout aussi porteurs de
marchés comme l’administration électronique, les perspectives de
développement du e-Commerce en Algérie… Ceci sur le plan opérationnel.
Quant au niveau stratégique, nous n’encouragerons jamais assez le
rapprochement tous azimuts des entreprises tunisiennes de leurs homologues
algériennes (et, plus généralement, maghrébines) car nous savons tous qu’il
existe un potentiel énorme en matière d’échanges commerciaux,
technologiques, industriels, de services… entre les pays de l’UMA. Et c’est
ce genre de rencontres où l’on se retrouve face-à-face, où l’on parvient à
mieux se connaître, à sympathiser que tout cela peut se nouer.
|