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Le sous-développement est dans
les têtes et non dans les moyens financiers. Comparons-nous en tant que
Tunisiens aux Suisses, Suédois… pays de même taille, et non vers le bas…
Vitus altus fortus est la devise des battants… Nous sommes Méditerranéens
avant d’être Arabes. La femme, la condition de la femme sont à mes yeux le
leitmotiv trop rabâché de nos jours.
Personne n’admettrait ou ne voudrait d’une mère, d’une femme ou d’une sœur
volontairement “limitée” intellectuellement. Parlons plutôt de Tunisiens et
niveau culturel, théâtre, opéra, lecture (heureusement qu’Internet, parabole
et gsm sont là). Nous sommes le fruit de notre éducation et la somme de nos
expériences. Un peu de pétrole réduirait notre déficit énergétique, la
balance de nos paiements et nous permettrait de construire de meilleurs
hôpitaux autoroutes et universités… Ne nous voilons donc pas la face, il ne
s’agit pas d’un choix entre fromage et dessert…équilibre et modération.
F.M
Réaction à l’article :
Les Tunisiennes sont libérées grâce au (manque) de pétrole !
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