En accordant une
subvention de 26,6 millions d’euros à Madagascar, sous forme d’aide
budgétaire globale, l’Agence française de développement -bras séculier du
dispositif de l’aide publique française au développement- compte, d’une
part, à appuyer la mise en œuvre d’un plan d’actions non affecté destiné à
soutenir la croissance et à réduire la pauvreté, et, d’autre part, à
contribuer à la préservation de l’environnement et de la biodiversité, au
travers de la Fondation pour les aires protégées et la biodiversité de
Madagascar ; un pays qui compte parmi les pays les plus pauvres de la
planète, avec PIB par habitant de seulement 290 dollars.
Selon une source proche
de l’Agence, ce concours s’inscrit dans le cadre d’un deuxième C2D (contrat
de désendettement et de développement), qui couvre la période 2008-2012.
A rappeler également que
les C2D constituent le volet bilatéral français pour l’allègement de la
dette contractée au titre de l’aide publique au développement (APD).
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