Mécénat ou communication
? Les deux sans doute. Et c’est bon pour l’image quand l’engagement est
sincère. La devise de l’Arab Tunisian Bank pourrait bien être «Bien faire en
faisant le bien».
En distinguant le 26
avril 2008 à l’hôtel Concorde Les Berges du Lac, les neufs meilleurs travaux
présentés dans le cadre du concours ATB Challenge session 2008, la direction
de cette institution financière entendait étendre ses activités à des
programmes de responsabilité sociale, intégrer la philanthropie à sa
stratégie commerciale de base et raffermir ses liens avec la crème d’une
jeunesse estudiantine ambitieuse, créative, bardée de diplômes et dotée
d’idées toutes prêtes, bien ficelées, en quête de donateurs pour être mises
en œuvre.
Rappelons que les trois
catégories du concours sont : arts & culture numérique, management
technologique & initiative entrepreneuriale et sciences & technologie ; ce
qui désigne trois heureux gagnants dans chaque spécialité avec la coquette
somme de 7.000 DT par lauréat. Des prix d’encouragement de 1000 DT feront le
bonheur de six nominés en mesure de forcer l’admiration et de susciter
l’enthousiasme d’un jury, tiré sur le volet, jaloux de ses prérogatives et
clamant haut et fort son indépendance et son souci d’équité.
Une 3ème
session haute en couleurs :
C’est Donia Chaouch,
figure incontournable à R.T.C.I et coqueluche de la jeunesse branchée de la
capitale, qui a animé le dîner gala en l’honneur des vainqueurs en
compagnie, comme à l’accoutumé, de M. Hachemi Alaya, président du jury dont
les interventions, tout au long de la soirée, étaient un hymne à
l’inventivité des jeunes, à la banque citoyenne et à l’investissement dans
les ressources humaines.
A l’instar des éditions
précédentes, le programme était riche et varié avec au menu une partition
musicale, un spectacle de peinture Free style et des tours de Close up
(magie rapprochée) en guise de clôture. Avant la remise des prix aux
gagnants, M. Mohamed Férid Ben Tanfous, directeur général de l’ATB, a tenu a
réitérer, dans sa courte allocution, la volonté de l’institution d’épauler
le talent, l’innovation et tous les projets en relation avec les nouvelles
technologies du savoir, symboles de l’économie numérique en gestation dans
notre pays.
«A travers son pari sur
la jeunesse tunisienne et ses capacités créatives, l’Arab Tunisian Bank
entend socialiser ses activités, promouvoir la culture de l’entreprise et
revitaliser le culte de la réussite», conclut notre vis-à-vis qui a rendu, à
la fin, un vibrant hommage aux participants et aux membres du jury dont
l’ardeur et le professionnalisme ont crédibilisé un concours, devenu une
véritable tradition compétitive et le reflet d’une banque ouverte, aux
relents sociaux indéniables.
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