Personnellement, j’y étais à la
foire et ce n’était pas un jour de congé mais ce qui m’a stupéfiée s’était
la fréquence des étudiants venus de loin pour assister aux conférences
programmées ce jour-là…il y avait du monde c’est vrai pas de bousculade
comme au salon SIB mais le public est sélectionné il y a avait beaucoup de
français aussi. Vous l’avez sûrement remarqué le plus grand stand était
celui des éditions numériques et je vous laisse en déduire… Même les
exposants s’attendaient à ce résultat parce que côté prix, il y avait pas
grand-chose à retenir, j’ai payé un Paulo Coelho à 8 dinars avec la
réduction. Donc on peut attribuer à la foire l’échec côté commercialisation
mais côté manifestation culturelle la foire n’a pas perdu son allure.
Juste un dernier mot pour dire :
s’est avéré quand Tunisie il n’y a que le sport qui marche et les Tunisiens
trouvent toujours de quoi payer un billet pour un match de foot mais pour
s’offrir un livre ou voir un film, ça ne fait plus partie de nos habitudes !
Dommage, nous sommes en train
d’affronter une génération désenchantée, désintéressée ! Que c’est triste.
Ines
Réaction à l’article :
Le Livre et les Tunisiens : un divorce consommé ?
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