On n’a pas compris. Et on
ne comprendra peut-être jamais ! Car les comportements dans les banques
continuent de dépasser l’entendement malgré tout ce qui a été dit et fait…
Question de bienséance personnelle !
Ce vendredi 30 mai entre 11h et 11h30 dans une agence bancaire de Tunis. Mais, bien sûr,
on vit le même genre de choses dans les autres banques. C’est la fin du mois
et les gens sont nombreux à vouloir faire des retraits. De plus, c’est un
vendredi comme on l’a dit et donc le dernier jour avant les deux jours où les
banques ferment leurs portes.
D’abord une longue file
pour des opérations de retrait. Et là, le monsieur se lève, laisse tout le monde
en plan, et disparaît dans les tréfonds de la banque. Cinq minutes plus
tard, alors que la file est devenue encore plus longue, il revient
tranquillement. Et c’est là que son ordinateur commence à faire des siennes.
Arrêt des opérations donc ! Il appelle un spécialiste qui tripote la
machine. Elle repart… pour s’arrêter après deux ou trois opérations. Et
ainsi de suite !
Finalement, c’est le
passage à la caisse. Et, surprise, surprise ! Le caissier est introuvable.
On fait contre mauvaise fortune bon cœur et on attend. Une minute, deux,
trois avant qu’il n’apparaisse et commence à servir la clientèle !
Le plus aberrant, c’est
que pendant ce temps il y avait un guichet et une caisse réservée au
personnel de la banque. Et là, tout va bien. Pas de monsieur qui se balade,
pas de panne, pas d’attente !
Et on nous dit que le
client est roi !
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