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– maintenir les marges
bénéficiaires en valeur absolue à leur niveau du mois de novembre 2007 ;
exprimé autrement, les gentilles grandes surfaces se contenteront de
répercuter les augmentations telles qu’elles sur les consommateurs ;
– réguler les prix des produits libéralisés et importés en fonction de
l’augmentation des facteurs de coût et de leur baisse ; ça c’est de la
langue de bois, ou je ne m’y connais pas ;
– faire bénéficier le consommateur des différents rabais et soldes ; ah bon,
ce n’était pas le cas jusqu’à présent ?
– procéder à des réductions de prix sur une liste de produits qui sera
établie, au début de chaque mois ; ah bon, ce n’était pas le cas jusqu’à
présent ?
– maintenir des rapports de qualité entre les parties concernées et veiller
sur la qualité des produits et des prestations fournies au consommateur ; Et
hopla ! encore la langue de bois ;
– tenir une réunion -dans un mois à partir de la date de la signature de
l’accord- pour faire l’évaluation de ce qui a été fait et pour suggérer des
dispositions qui appuient sa réalisation.
Génial, voilà la vraie solution.
Karim GHARBI
Réaction à l’article :
Tunisie : La grande distribution s’engage sur une série d’actions de protection du pouvoir d’achat
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