Je suis du domaine de l’huile d’olive et je sais très bien de quoi je
parle… Il ne suffit pas qu’on fasse un effort marketing, il y a lieu de
mettre en place toutes les normes de qualité, à commencer par une récolte
faite avant mi-janvier, une trituration dans les 36 heures après la récolte
et un stockage propre.
Et puis il y a huile et huile… Il y a l’extra vierge et les autres…c’est
sur celle-ci qu’il y a une plus-value à opérer. Arrêtons de dire que les
Espagnols et les Italiens n’ont pas une bonne huile et arrêtons de dire que
nous sommes les meilleurs alors que nous perdons du terrain avec l’entrée en
production, entre autres, de l’Australie et de l’Argentine. Nous devons, par
nécessité et dans l’urgence récupérer des parts de marché que d’autres
grignotent allègrement.
Il faudrait aussi, si on veut conquérir certains marchés, que nous puissions
faire l’analyse des polyphénols en Tunisie au niveau du laboratoire de l’ONH…
Au fait, et l’ONH dans tout cela?
Frida Dahmani
Réaction à l’article : Huile
d’olive: la bataille de l’export aura lieu
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