Les relais entre la recherche et l’industrie |
CJe pense que les choix de la Tunisie en énergie convergeront tous vers les énergies renouvelables et propres. Si la SONEDE, en partenariat avec la STEG, crée un projet de désalinisation de l’eau non pas avec les techniques usuelles -qui consomment beaucoup d’énergie- mais en utilisant le soleil pour vaporiser l’eau (“Sahara Forest Project” [1]), on aura à la fois de l’eau douce, de l’énergie et la possibilité de faire des plantations dans le désert. Dans le même registre de l’énergie, il est regrettable de voir que des résultats sur la réalisation de générateurs d’électricité à pile d’hydrogène sont atteints conjointement entre un laboratoire universitaire de recherche de physique/chimie en Tunisie et un autre dans un pays scandinave (information vue sur tunis7 il y a quelques années), et que, aujourd’hui, ils exploitent pleinement cette technique par leurs compagnies d’énergie alors que chez nous la STEG investit toujours dans les centrales classiques. Le relais entre la recherche et l’industrie n’est pas nécessaire, il est vital D.R. [1] http://www.thefutureofscience.org/speaker/abstract/PatonCharlie.pdf , http://www.seawatergreenhouse.com http://www.guardian.co.uk/environment/2008/sep/02/alternativeenergy.solarpower# A.B
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