La récente table ronde avec le gouvernement, organisée le 20 octobre par «The
Economist», a vu la participation d’un –relativement- grand nombre
d’entreprises tunisiennes (Agridev, Tunisia Relocations & Services, Bismuth
Group et Fuba Printed Circuits, TMI, HLK Conseil et Audit) et étrangères
(SAS, Manpower, HP, Crown, Cisco Systems et Coca-Cola, Astra Zeneca, KPMG,
Deloitte, Unilever, RATP, Société des Eaux de Marseille, Lectra, Calyon,
Japan Tobacco International, Orascom, Henkel et Nestlé), dont la plupart
opèrent déjà en Tunisie.
Seules exceptions, Attractis et Mami, deux entreprises sud-africaines des
technologies sud-africaines du secteur des technologies de l’information.
Elles sont spécialisées respectivement dans les solutions et services pour
Internet, et les équipements et solutions de sécurité.