Certes, il y a du bruit dans la rue des boîtes de nuit. Quoique de plus normal
dans une ville touristique où l’Etat dépense des milliards pour le faire savoir,
et le contraire serait anormal.
Mais cela n’explique pas par contre :
-les mobylettes roulant avec un échappement libre;
-les groupes de jeunes criant des insanités dans notre vocabulaire devenu très
nauséabond, et ce jusqu’au matin à travers les rues de la ville;
-les voitures roulant à tombeau ouvert avec les autoradios à fond ponctués par
les klaxons stridents à toute heure de la nuit;
-les engins Quads destinés aux pistes et sillonnant la ville, faisant fi du code
de la route;
-la quasi impunité devant tous ces faits…
Ni les doubles vitrages, ni la promulgation de lois ne pourront remplacer
l’éducation et le respect d’autrui. Aussi, faut-il plutôt procéder à des
campagnes incessantes de sensibilisation, partout et à l’occasion, à l’entrée
des autoroutes, aux postes frontières, dans les ports, etc.
NB: Il y a aussi d’autres sources de bruit, à des heures indues, qui paraissent
légitimes et dont il faudra un jour réguler le débit pour la santé de tout le
monde.
H.N.
Réaction à l’article :
Hammamet en quête de silence
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