Si nous prenons l’exemple d’un fruit qu’on voudra manger, il y a des chances
qu’il soit pourri, il y a donc deux cas de figure ou bien la pourriture n’a
atteint qu’une petite partie et dans ce cas on l’élimine et on déguste notre
fruit sinon dans le cas contraire sa destinée sera la poubelle.
A votre avis la corruption en Tunisie, est ce qu’elle a atteint le point du non
retour, où une bonne partie des Tunisiens y participent??? C’est vrai aussi que
le corrompu et le corrupteur sont tous les deux coupable, la dessus il n’y a
aucun doute. Et a propos du rôle des institution, je suis désole mais leur
responsabilité est supérieure à celle d’un citoyen. Car le contrôle d’un salarié
qui ne touche qu’entre 400-500 DT et qui roule en voiture qui coûte les 60
milles DT est très facile en posant juste une petite question “ça vient d’où??”.
Il n’y a pas que le citoyen qui est démissionnaire mais les institutions aussi!!
c’est bien normal, on est tous Tunisiens!!!
FARHAT. A
Réaction à l’article :
«Pour qu’il y est des corrompus, il faut qu’il y ait des corrupteurs»
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