Aujourd’hui, il est temps de penser à autre chose dans les TIC. Nous n’en
sommes plus aux balbutiements et nous avons donc un devoir de ‘’qualité’’ ;
c’est-à-dire que certaines éléments, que nous appellerions fondamentaux,
doivent désormais être en mesure de ‘’fonctionner’’… On n’en parle plus et
on travaille tranquillement, c’est tout.
Malheureusement, encore une fois, nous sommes pris à témoin par des
opérateurs qui ne savent plus à quel saint se vouer, particulièrement sur la
question de la qualité de la connexion. Les doléances des chefs d’entreprise
ne cessent pas … et ils nous ont confié à maintes fois qu’ils en avaient
parlé à tout le monde, y compris à l’Administration.
Mais cela traîne. Et les opérateurs n’ont pas de temps pour se casser la
tête à chaque fois sur les problèmes de connexion. Leur créativité se trouve
ballotée par les moments qui devraient être normalement consacrés à
l’inspiration et à la construction et orientée vers des redémarrages de
système, des vérifications à n’en plus finir, des appels téléphoniques, des
e-mails…
Pour ne prendre qu’un exemple, les questions de commerce électronique sont
directement liées à la qualité de tous les attributs du secteur des
technologies de l’information et de la communication. C’est une vérité de La
Palice.
Alors, pourquoi sommes-nous aux antipodes de cette lapalissade ?
Au secours, faites quelque chose, svp !
