Laisser à chacun le soin de choisir l’environnement
–logiciels libres ou commerciaux- dans lequel il voudrait évoluer. Voilà, en
gros, l’attitude que le gouvernement a jusqu’ici observé dans ce dossier, même
s’il a, en ce qui le concerne, toujours opté pour les seconds, pour la mise en
place des projets nationaux.
Cette approche va-t-elle changer ? On peut se le demander, à la lumière de
l’appel d’offres lancé récemment par le ministère des Technologies de la
Communication et relatif à la réalisation d’une étude sur les logiciels libres.
Une initiative qui intervient peu de temps après la tenue de la 4ème édition du
séminaire annuel autour du logiciel libre, organisé par ledit ministère (16
décembre 2008) et qui a eu pour thème «La forte implication des acteurs en TIC
dans le domaine des logiciels libres».