Connaissez-vous ‘’Conseilelec’’, un Bureau de conseil et d’audit en électricité
et en énergie ? Une nouvelle génération d’entreprises qui ont compris qu’il y
avait un marché réel, en Tunisie et à l’étranger, dans le domaine de la maitrise
d’énergie.
La Comar, la Star, la Llyod, el Fouledh, Tunisie Télécoms… le connaissent.
Divers organismes et installations publics et privés à la Manouba, Tunis,
Zaghouan, Sousse, Nabeul, Siliana… le connaissent. Car il su susciter le marché
en allant au bout de sa logique : le plus haut qu’il a pu viser !
Avec des logiciels de calcul d’installations électriques, des logiciels de
conception de l’éclairage, des logiciels de schématique… il s’est attaqué à
traquer les incohérences qui finiront par se projeter sur les factures dans
l’industrie et le bâtiment, dans l’éclairage (public, routes, intérieur, espaces
sportifs, parkings…), dans les sites du tertiaire (hôtels, hôpitaux, lycées,
administrations, stades…) et même dans les réseaux voix/données/images !
Ce que ‘’Conseilelec’’ a compris, c’est qu’il faut aller au fond des choses si
nous voulons traquer la moindre perte d’électricité. C’est une affaire de
‘’finesse’’ et de détails car il ne faudrait pas croire qu’il existe des
gisements immenses, en bloc, à la pelle, de gains d’énergie. Seulement de tous
petits gisements qu’il faut aller chercher avec des pincettes, comme les tous
petits ruisseaux qui font les grandes rivières !
Mais avons-nous compris, comme ‘’Conseilelec’’ ? Allons-nous, comme lui, au bout
de notre logique ? Avons-nous la patience de collecter les petits ruisseaux ? Si
oui, il faudrait que l’on médite ensemble sur une autre interrogation : Pourquoi
avons-nous supprimé l’usage de l’heure d’été alors qu’elle nous rapportait 20
mille tonnes équivalent pétrole par an au moins ?