Quel est le point commun entre notre Premier ministre, les compagnies étrangères
dans notre pays, le
CEPEX et
Tunisie Telecom
? Beaucoup, évidemment ! Mais
particulièrement à l’un des niveaux les plus stratégiques des TIC.
Voici comment. Il y a quelques mois, nous avons profité d’une rencontre avec M.
Mohamed Ghannouchi pour lui transmettre les doléances d’entreprises étrangères
qui nous avaient assurés qu’elles avaient des difficultés récurrentes avec leurs
messageries alors que ces e-mails étaient pour elles un outil de travail, de
prospection, de communication… Le Premier ministre avait promis d’examiner le
problème et, à notre connaissance, il n’y a plus de plaintes.
Nous retrouvons une autre facette de ce même dossier des outils
TIC alors que
Tunisie Telecom, en phase avec les efforts de l’Etat en matière d’exportation,
signait une convention avec le CEPEX, justement pour lui permettre de disposer
du meilleur de la téléphonie fixe, du GSM, de la plateforme Data, de la fluidité
des fibres optiques… dans le but de moderniser ses outils de travail pour qu’il
reste en course.
Car, comme dit M. Montasser Ouaïli, ‘’le CEPEX, c’est un pied ici, un pied à
l’étranger… et il a besoin des TIC pour travailler, prospecter, communiquer.
C’est une première étape et nous continuerons à suivre son parcours.’’
M. Ghannouchi comme M. Ouaïli comprennent parfaitement que les TIC sont des
outils capitaux pour l’export. Les entreprises étrangères qui opèrent dans notre
pays et le CEPEX (comme tous les acteurs économiques aux activités
extranationales) savent qu’en disposer est vital. Une heure perdue hors
connexion est peut-être une opportunité gâchée et la responsabilité des
décideurs et des fournisseurs de technologie est de maintenir le flux
irréversiblement fort.