“Nous possédons les droits de trafic pour la capitale tunisienne depuis Paris,
mais aussi Lyon et Marseille”, assène Meziane Idjerioudene, directeur général
d’Aigle Azur, la compagnie aérienne low-cost.
Dans une interview accordée à un portail du tourisme, il révèle que des lignes
vers Tunis pourraient être ouvertes d’ici la fin de l’année. Pour l’instant, la
troisième compagnie française dessert uniquement Djerba.
Une flotte de 13 appareils, des vols principalement vers l’Algérie, le Portugal
et le Mali, une stratégie qui engendre un chiffre d’affaires de 300 M€ (+5%).
La bataille du ciel tunisien risque donc d’être rude, d’autant plus que la
compagnie
Tunisair semble préparer une offensive stratégique pour contrer les
low cost.