Tunisie : Le réseau KPMG plaide pour la transparence comptable

Par : Autres

kpmg-tunisie-1.jpgLes assises francophones du réseau international KPMG –spécialisé en audit et expertise comptable, audit et conseil- ont organisé ce lundi 21 juin 2010, une réunion, aux Berges du Lac afin de créer des synergies d’intervention permettant à chaque pays membre de se développer dans son environnement et de rentrer dans la mondialisation par la grande porte.

Des représentants des pays magrébins, de l’Afrique sub-saharienne et de la France étaient présents à ce rendez-vous que les organisateurs considèrent comme incontournable.

Présent dans 140 pays et employant plus de 140.000 personnes, le réseau KMPG constitue une palette de compétences pour affronter toute sorte de concurrence. Après plusieurs années de labeur, les responsables de différents pays membres se sont fixé un objectif majeur : développer les pays de l’Afrique francophone.

«Nous avons pris l’option d’assurer une véritable dynamique économique entre les pays francophones africains avec le concours de la France. Il s’agit de développer les secteurs d’activités dans les pays africains, tels que la santé, l’agriculture, le tourisme, les énergies, l’infrastructure, les télécommunications, etc.», a déclaré Foued Lahgezi, président de KPMG au Maroc.

De son côté, Patrick Hubert Petit, associé, membre du comité de direction et responsable en coordination Afrique francophone, a indiqué que les différents cabinets KMPG collaborent d’une façon étroite pour mettre en place un système de rapprochement juridique transparent. Le réseau KPMG se présente sur le marché d’assainissement des finances publiques avec 1.000 collaborateurs et 50 associés.

M. Ndiagu Sarr, directeur général de KPMG Sénégal, a souligné, pour sa part, que le secteur public est un élément primordial dans la prochaine stratégie du programme d’action de ce réseau international.

Moncef Boussannouga, président de KPMG Tunisie, s’est félicité du choix porté sur la Tunisie, tout en justifiant cela par la bonne gestion des fonds publics, la bonne gouvernance de ses entreprises et la qualification de son personnel, a-t-il dit en substance. De ce fait, il a indiqué que «nous visons à promouvoir l’investissement et permettre à nos diplômes qui sont nombreux et compétents à se placer partout où nous avons besoin d’eux, tout d’abord pour assurer un emploi stable mais aussi pour contribuer au  développement économique national».

Selon les différents représentants du réseau  KPMG, tous les cadres seront mobilisés pour présenter des services de haute valeur ajoutée au profit de grandes entreprises des secteurs public et privé.  

M.Z.

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