Après la Société Nationale des Industries Pneumatiques (STIP), voici qu’un autre opérateur de l’industrie tunisienne des pneumatiques qui connaît de grosses difficultés. Il s’agit de la Société Tunisienne de Pneumatique et de Caoutchouc (STPC) qui, en raison de ses problèmes, n’arrive plus à honorer ses engagements vis-à-vis de ses créances et vient de ce fait d’être condamnée à une vente judiciaire de trois terrains se trouvant à Djerba, au profit de la Banque Nationale Agricole.
Les difficultés de Mahmoud Fessili et celles de la Société Tunisienne des Industries Pneumatiques (STIP) ont une même cause : le marché parallèle où les pneumatiques se vendent à des prix défiant toute concurrence.