Tunisie : Le Bifi à l’aloe vera, ou quant Vitalait sort une nouvelle artillerie lourde…

Par : Tallel

bifi-1.jpgAprès les yaourts “Bifi Nature“, “Bifi aux morceaux de fraise“ “Bifi saveur vanille“, Vitalait vient d’enrichir sa gamme de yaourts en mettant pour la première sur le marché tunisien le “BIFI aux morceaux d’Aloe Vera“.  L’annonce a été faite ce jeudi 5 août 2010 lors d’une conférence de presse qui a réuni le management de la société au complet aux Berges du Lac, à sa tête son président fondateur  M. Ali Klebi.

En termes de composants, le nouveau yaourt est fabriqué avec du lait frais enrichi en matière sèche, préparation aloe vera, sucre, amidon de tapioca, ferments lactiques de yaourt et le bifidobacterium (bifidus lactis).

Bien évidemment, nous l’avons goûté, son arome exquis… Mais certains vont sans doute s’étonner, car l’Aloe Vera était plutôt connu dans le cosmétique et d’autres produits non alimentaires. Mais «on découvre ses multiples vertus pour le bien-être de notre corps en l’intégrant à notre alimentation, c’est simplement cela le dernier né 81FI ! 81FI à l’Aloe Vera est brassé avec de vrais morceaux de cette plante aux bienfaits innombrables ! Il nous offre un goût nouveau, un vrai délice pour les gourmands et des bienfaits uniques pour le corps et l’esprit».

Pour faire simple, notons qu’avec l’Aloe Vera, Vitalait a créé une nouvelle recette, un yaourt unique en Tunisie et qui plus est offre des qualités gustatives et des apports bénéfiques pour l’organisme. Parce que, pour ceux qui l’ignoraient, Aloe Vera contient de 7 des 8 acides aminés qui sont indispensables pour notre corps…

Et porte à croire qu’avec le nouveau parfum de yaourt, Vitalait pourrait augmenter sa part de marché qui se situe aujourd’hui aux alentours de 16% pour les yaourts et 20% pour le lait.

Maintenant face à cette nouvelle arme, on peut se demander comment va réagir la concurrence. En attendant, le patron de Vitalait espère tout simplement que cette concurrence sera loyale –le mot a du sens- pour le consommateur en tire le plus grand bénéfice, en termes de qualité et de prix aussi. D’ailleurs, à la différence d’autres industries, M. Klebi n’a pas l’ambition d’aller sur d’autres marchés, estimant qu’il est plus nécessaire de consacrer son énergie à procurer au consommateur tunisien des produits de qualité. «Après on verra…».