Dans son récent rapport sur la Tunisie, le Fonds monétaire international (FMI)
a félicité certes la Tunisie pour sa capacité de résilience aux crises, mais lui
a recommandé également «l’urgence de poursuivre les réformes structurelles pour
doper la croissance, accroître la compétitivité, résorber le chômage (notamment
des jeunes), améliorer l’environnement des affaires, stimuler les
investissements en capital et moderniser le secteur financier».