“Ce commerce n’a pas d’avenir en Tunisie”, a déclaré Ridha Ben Mosbah, ministre
du Commerce et de l’Artisanat lors d’un débat radio télévisé sur l’activité de
son département.
«La lutte contre ce commerce informel nécessite, a-t-il dit, la limitation du
nombre des commerçants ambulants et leur identification (qui sont-ils, d’où
s’approvisionnent-ils, et sur quels marchés s’installent-ils). L’objectif est de
leur octroyer des autorisations leur permettant de poursuivre leurs activités».
Parallèlement, une commission nationale a été chargée d’assurer le suivi du plan
de lutte contre ce commerce illégal. Le commerce des carburants et des produits
nuisibles à la santé sera particulièrement traqué en priorité.