Le retour (a-t-il jamais été vendu en Tunisie, au fait?) du Canard dans les kiosques tunisiens n’est pas passé inaperçu, loin de là. Pour le premier débarquement du 19 janvier 2011, on y a vu que du feu, le temps de l’apprendre, ce fichu Canard était introuvable dans toutes les mares tunisiennes. Notre ami du kiosque d’en bas, ne se rappelle même pas comment il est arrivé et parti; il s’est quand même excusé de ne pas savoir et a promis de me mettre sur la liste des réservations pour les prochains numéros.
Ce Canard qui n’arrête pas d’emmerder tout le monde, commence à nous taper sur le système; non seulement on doit le payer (pour ses 8 pages) au prix d’un kilo de presse locale, il contribue au développement de la «Pistonite» et se permet de nous narguer avec ses coin-coin de retour dans les kiosques tunisiens.
Dégage.
Voilà ce que risque ce foutu Canard s’il ne nous pond pas, rapidement, un spécial TUNISIE, avec tout ce qu’on a pu rater au cours des 50 dernières années.
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