Le Premier ministre relèvera que, sur la dissolution du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), la justice a prononcé son dernier mot dans cette affaire. Cependant, vu que des personnalités de ce défunt parti ont créé leurs propres partis politiques ou adhéré à d’autres, M. Caïd Essebsi souligne que rien n’empêche d’interdire aux responsables de ce parti d’exercer une activité politique pour une période déterminée.