«Si nous ne recevrons pas une réponse favorable de la part des autorités algériennes d’ici le 11 septembre prochain, date de la prochaine réunion du conseil d’administration, ALKIMIA sera obligée de mettre en vente sa participation dans la société algérienne KIMIAL», a annoncé Ali Mhiri, PDG de la société ALKIMIA lors de l’assemblée générale de ladite société.
Le responsable a précisé qu’il a rencontré récemment des responsables du gouvernement algérien afin de les inciter à intervenir pour rendre obligatoire la norme relative à la production des détergents, étendre l’imposition des barrières douanières sur le STPP importé ainsi que la restitution par l’Etat algérien du précompte TVA qui constituera, selon le PDG d’ALKIMIA, un ballon d’oxygène pour aider la société à mieux affronter ses engagements.
«Si la sous-utilisation de l’outil de production perdure, le risque de fermeture de la société KIMIAL devient imminent, ce qui aura pour conséquence la suppression de plusieurs postes d’emploi directs et indirects», a signalé M. Mhiri.
Par ailleurs, au niveau des résultats comptables, la société KIMIAL a terminé l’année avec un résultat négatif d’environ 2,3 millions d’euros.
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