L’un des axes des réformes prévues dans le programme de bonne gouvernance du ministère de la Planification et de la Coopération internationale est la révision de la loi sur les associations. Avant le 14 janvier 2011, la Tunisie comptait près de 10 mille associations, qui servaient pour la plupart les propres intérêts de leurs membres.
Certaines d’entre elles ont servi la propagande politique du président déchu. D’autant plus qu’il y a une quasi-inexistence des associations de développement lesquelles peuvent avoir un rôle non négligeable dans les régions intérieures, selon les dires d’Abdelhamid Triki, ministre de la Planification et de la Coopération internationale.
La révision de la loi servira à supprimer les restrictions pesant sur la création et le fonctionnement des associations. Un projet de décret-loi est déjà préparé par la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique, en attente d’approbation.
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