“Le partenariat public/privé est important et grâce à la création de la Caisse de dépôts et de consignation dont le décret-loi vient d’être approuvé ainsi que le Fonds générationnel dont le projet de loi sera entériné dans les prochaines semaines, nous pouvons considérer que la Tunisie disposera désormais d’une force de frappe importante en matière d’investissement et de création de valeurs et d’emplois”.
Cette déclaration émane de Jalloul Ayed, ministre des Finances lors de sa rencontre, mercredi 17 août, avec les représentants de la Centrale patronale (UTICA) sur le thème “Situation et perspectives des entreprises après la révolution”.
Mais le ministère des Finances ne s’arrête pas en si bon chemin, une refonte complète du cadre règlementaire de la microfinance, celle du capital-risque et des fonds de développement pour que les SICAR ne se comportent pas plus “en banques qu’en fonds d’investissement à risque”.
“Nous devons impérativement professionnaliser l’investissement dans notre pays, si nous soignons l’acte d’investir, nous sommes bien partis pour un développement à vie”.
Jelloul Ayed a, par lui-même, pris l’initiative d’inviter les opérateurs privés à discuter des problématiques et des nouveaux maux de l’entrepreneuriat.
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