Lors d’une récente réunion des adhérents de l’UTICA, avec le ministre des
Finances, Jalloul Ayed, un patron a estimé que la compensation, estimée à 5
milliards de dinars pour 2011, gagnerait à être gérée «en amont qu’en aval».
Pour lui, cette enveloppe gagnerait à être gérée par les agriculteurs,
industriels et prestataires de services lesquels auront en contrepartie à agir
sur les prix et à les adapter au pouvoir d’achat des consommateurs. Et pourquoi
pas, nous sommes en révolution après tout!