Contrairement à ce qu’avait déclaré lors de la présentation du rapport final de la Commission nationale d’investigation sur la corruption et la malversation, Néji Baccouche, rapporteur de la Commission, la Banque centrale de Tunisie n’a pas refusé de remettre à la commission un rapport sur une banque de la place.
Selon nos investigations, la BCT a préféré, pour des raisons de confidentialité, remettre le rapport sur la banque concernée à la justice et non à la commission, ce qui relève de son droit le plus absolu.
S’agit-il de la dernière bourde de cette commission dont tous les membres se disent tous partants?
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