Dans un communiqué rendu public samedi 28 janvier, le ministère du Commerce et
de l’Industrie a annoncé la “saisie et la destruction de 1743 Kg de Sorgho”
suite aux analyses qui ont révélé la “présence d’aflatoxine”, matière produite
par des champignons qui prolifèrent sur les graines en raison du manque de
respect des conditions adéquates de conservation et de stockage.
Le document ajoute que des équipes conjointes des ministère de l’Industrie et du
Commerce et de la Santé ont saisi temporairement, au niveau régional, 1100 Kg de
sorgho en attendant les résultats des analyses.
De ce fait, le ministère appele la “Chambre nationale des commerçants de gros et
les industriels à effectuer les analyses nécessaires du sorgho et de vérifier sa
non pollution lors de l’approvisionnement et de la commercialisation”. Il est
également demandé au consommateur “de s’approvisionner en sorgho auprès des
points de distribution organisés, des grandes surfaces et espaces commerciaux,
vu les garanties de qualité que ces derniers offrent en s’assurant de la
salubrité du produit avant son exposition à la vente.