ésident du conseil de surveillance de PSA, Thierry Peugeot, et le président du directoire, Philippe Varin le 2 juin 2012 à Paris (Photo : Eric Piermont) |
[18/07/2012 12:58:25] PARIS (AFP) La famille Peugeot, premier actionnaire de PSA Peugeot Citroën et mise en cause par le gouvernement dans le cadre du plan de suppression de 8.000 postes de travail du constructeur automobile, s’est défendue mercredi en affirmant avoir “toujours donné” priorité au groupe.
“La famille Peugeot a toujours donné la priorité au développement du groupe et à sa stratégie, n’hésitant pas à diluer sa participation quand la situation le requérait”, selon un communiqué de PSA Peugeot Citroën.