C’est le gouverneur de la Banque centrale (BCT), Chedly Ayari, qui l’a confirmé, tout à l’heure ce mardi 4 septembre, sur les ondes de Radio Express Fm, infirmant ainsi les informations – rumeurs publiées dans les journaux d’expression arabe «Al Maghrib» et «Al Moussawar» selon lesquelles Mohamed Rekik lui aurait été imposé et ne serait confirmé à son poste qu’en fonction de la réalisation d’objectifs dictés par le gouvernement (ouverture des dossiers de corruption dans le secteur bancaire, assainissement de la BCT et réhabilitation des compétences marginalisées…).
Selon lui, Mohamed Rekik a été nommé par la Troïka sur sa proposition et est, aujourd’hui, son proche collaborateur avec lequel «il travaille en parfaite harmonie».
Dont acte !
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