Il ressort des révélations d’une récente étude de la Banque africaine de développement (BAD), intitulée, «Estimation des coûts et des avantages de la mise en œuvre des accords de Bâle III dans les économies émergentes nord-africaines», que les banques tunisiennes ne réagissent pas vite aux chocs des crises.
Ainsi, le secteur bancaire tunisien présente un temps de récupération lent, soit 3 ans et 10 mois, pour absorber un choc financier contre 3 ans et six mois pour les banques évoluant dans des économies de pays émergents.
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