En ce qui concerne la révision des taux de droit de consommation appliqués sur les boissons alcoolisées, le ministre des Finances, Slim Besbes, a fait remarquer à la TAP que la taxe appliquée sur les boissons produites localement sera régularisée, vu sa faible pression fiscale alors que les boissons alcoolisées importées ne seront pas concernées par ladite hausse, eu égard à leur forte pression fiscale.
«Les boissons alcoolisées à forte pression fiscale (droit de la consommation), dont les taux oscillent entre 25% et 600% ne seront pas concernées par le projet de régularisation. L’augmentation des taxes de consommation ne touchera que les produits ayant une faible pression fiscale, tels que les vins rouges et la bière», a-t-il expliqué.
WMC/TAP